LCBO — À bon verre, bonne table Voyages 2025

JAPON

Osaka Jadis, les itinéraires de voyage boudaient souvent Osaka, une ville portuaire de caractère moderne, au profit de la pittoresque Kyoto. Cela est toutefois en train de changer, à mesure que les gens découvrent que cette ville jeune est le haut lieu de la cuisine de rue et qu’elle recèle un nombre incalculable de petits bars, chacun possédant un caractère unique. LE GOÛT DU JAPON Whisky japonais Single Malt Yoichi Nikka LCBO 21082, ml, 94,90 $ Aucun élément ne prend le dessus dans cet élégant spiritueux, dont les notes de fruits, d’épices, de noix, de fleurs et de fumée sont parfaitement équilibrées. Voilà le genre d’expression nuancée qui a contribué à faire connaître le whisky japonais.

Whisky japonais Toki Suntory LCBO 465484, 65,95 $

Whisky délicat par excellence, le Toki livre de charmantes notes d’agrumes et de fines herbes rehaussées d’un soupçon de vanille. Servez-le nature, sur glace ou dans un cocktail allongé.

À LA MODE LOCALE À moins d’une heure d’Osaka se trouve la distillerie Suntory Yamazaki , une des tination qui devrait figurer sur la liste de tout amateur de whisky. Fondée en 1923, elle a été la première distillerie commer ciale de whisky au Japon. La deuxième, la distillerie Yoichi de la maison Nikka, a été fondée une dizaine d’années plus tard par le même fabricant. Pendant de nom breuses années, elles étaient les principaux producteurs de whisky japonais, qui est aujourd’hui une catégorie acclamée et primée. De nombreuses expressions sont offertes dans les bars à whisky d’Osaka, où l’on sert des cocktails allongés selon la méthode traditionnelle.

MANGER JUSQU’À SE RUINER La rue Dotonbori à Osaka est célèbre pour ses enseignes excentriques (raviolis, crabes et pieuvres géants) qui incitent les gens à se rendre dans les nombreux kiosques et magasins qui vendent des spécialités locales, comme le takoyaki (boulettes de pâte et de pieuvre frites) et l’ okonomiyaki (crêpe garnie semblable à une pizza). C’est l’endroit rêvé pour combler votre kuchisabishii (envie de se remplir la bouche) et s’adonner à la pratique du kuidaore (manger jusqu’à se ruiner).

À FAIRE

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